Avec la descente de trois autres clubs de Ligue 2 et la présence de nombreuses équipes historiques de ce même championnat, le National s’apparente à une Ligue 2 bis tant il rassemble de grosses écuries. Décryptage.
Beaucoup de clubs habitués à la Ligue 2
Ces derniers jours, la composition du championnat de National était mouvante. D’abord rétrogradé administrativement, l’AC Ajaccio évoluera finalement bien en Ligue 2 la saison prochaine. Même son de cloche pour le FC Rouen, initialement rétrogradé en National 2 qui a obtenu gain de cause lors de son appel et qui se maintient en National. A l’inverse, les Chamois Niortais ont été confirmés en National 2 la saison prochaine. Une rétrogradation qui profite à Villefranche, qui était la première équipe dans la zone rouge à l’issue de la saison. La situation est, en revanche, encore floue pour les Girondins de Bordeaux, pour le moment relégués en National, mais qui pourraient réintégrer la Ligue 2 lors d’un prochain passage devant la DNCG qui aura lieu dans quelques jours.
En cas de maintien de la décision pour les Bordelais, l’ESTAC pourrait en profiter pour rester en Ligue 2, malgré une place de 17ème initialement synonyme de relégation. Dans tous les cas, le National devrait contenir 11 clubs ayant connu la Ligue 2 il y a moins de cinq ans : Bordeaux ou Troyes, Valenciennes, Quevilly, Concarneau, Sochaux, Dijon, Nîmes, Nancy, Châteauroux, Orléans et Le Mans. Parmi les sept autres formations, Versailles, Villefranche ainsi que les promus Bourg-Péronnas et l’US Boulogne sont bien rodés au National depuis quelques années. La tâche s’annonce donc ardue pour le VAFC pour sa première depuis 20 ans au troisième échelon national.
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