VAFC - Jean Louchet : "Pas de raison qu'on n'ait pas le déclic"

Frustré comme beaucoup du début de saison laborieux du VAFC, qui n’a gagné qu’un seul de ses huit premiers matches, Jean Louchet se veut tout de même confiant pour l’avenir. Le dernier rempart valenciennois pense qu’un déclic est nécessaire pour débloquer la machine. Et il espère que celui-ci aura lieu à Laval, samedi (19 heures) pour le compte de la 9e journée de Ligue 2.

Concarneau, un vrai coup d’arrêt

« On alterne de très bonnes choses et de moins bonnes, la preuve contre Concarneau. La première mi-temps était pas top contre Concarneau, mais on avait fait de bonnes choses contre Amiens. On prend sept buts sur les deux premiers matches, mais on fait quatre matches sans prendre de buts sur les six suivants. C’est quand même une très bonne chose. Maintenant, il y a eu pas mal de mouvements aussi au mercato, en fin de mercato, il faut le temps que tout le monde s’acclimate, que le groupe se mette en place. »

Un déclic qui se fait attendre

« On voit de bonnes choses, une évolution. On est les premiers déçus et il n’y a pas de raison qu’on n’ait pas le déclic. On a des responsabilités, on se doit de faire mieux, on en est tous conscients. Tout est réuni pour que les résultats commencent enfin à suivre. On pensait que ce serait le cas contre Concarneau, en recevant le 19e chez soi, on n’a pas su le faire. Si on fait le taf à Laval, on oubliera un peu ce qui s’est passé il y a trois jours. »

Laval, l’adversaire idoine ?

« Cela peut être une bonne opportunité d’aller chez le premier et de montrer de quoi on est capable. C’est une équipe en pleine réussite aussi. Nous, on tape un poteau contre Amiens, on a des occasions. On tape encore un poteau à la première minute contre Concarneau. On a encore une frappe avec Allan Linguet qui tape la barre. On n’a pas ce déclic, mais à un moment donné ça va nous sourire. Il faut garder le cap, rester unis, continuer de travailler ensemble. On sera récompensé, il n’y a pas de raison. »