Présent en conférence de presse ce vendredi, en amont du match contre Caen samedi (19 heures) pour le compte de la 12e journée de Ligue 1, Jorge Maciel en a profité pour acter le forfait d’Anthony Knockaert. Il a également été question d’arbitrage et des enseignements de la rencontre à Grenoble.
Quatre absents potentiels pour VAFC – Caen
« Tydiane (Diagouraga), Julien Masson, Joffrey (Cuffaut) et Anthony (Knockaert) sont forfaits. Il y a aussi Sofiane Boudraa qui a un problème de dent. En début de semaine, il y a eu quelques absences en raison de la grippe. »
Les enseignements du match contre Grenoble
« Je pense qu’on a manqué d’équilibre, ce qui est le plus important dans une ligue très compétitive. Ce qui est possible, c’est que quand on a respecté ce qui avait été préparé, ça a tout de suite marché. La réflexion est qu’on ne peut pas se permettre de faire des choses bizarres ou de sortir de la trame. Dès qu’on le fait, on le paie cash. C’est le gros enseignement de ce match. Il faut arrêter d’apprendre, on a déjà pris beaucoup de leçons dans la saison. La prise de conscience est là, pour moi aussi au niveau des profils pour la fin de match. En tout cas, on ne peut pas se permettre de lâcher un peu. On était à ça de faire quelque chose d’extraordinaire, de renverser le match, de gagner 3-2. On ne l’a pas fait, parce qu’on a alterné de très belles choses avec de très mauvaises choses. »
Sa relation avec les arbitres
« On a enchaîné six matches avec beaucoup de décisions… On n’est pas l’équipe la plus agressive sur le terrain. Hier, j’ai vu une statistique selon laquelle on a le plus gros ratio faute/carton pris par match. Si on regarde le match contre Bordeaux, Julien Masson et Sacha Bansé prennent un carton sur leur seule faute du match. Quand on voit le milieu de Bordeaux, ça met des tacles et ça termine sans carton. Le latéral gauche de Bordeaux met la semelle sur la jambe de notre joueur, il doit prendre rouge. Contre Concarneau, je crois que tout le monde est clair pour dire qu’il n’y a pas penalty. Contre Laval, même si on fait un match horrible, mais on doit avoir un ou deux penalties. On peut aussi trouver de quoi à dire contre Amiens ou Troyes. C’est peut-être à moi de m’adapter, je fais l’effort pour être un peu plus calme. J’ai compris que ça ne servait à rien. Je pense que les bons arbitres sont comme les entraîneurs, tu ne les vois pas. »
Source : VAFC
Crédits photo : Christophe Saidi/FEP/Icon Sport