Dans le viseur de l’opinion publique, Olivier Létang, futur porteur de la flamme olympique alors qu’il a décidé de ne pas libérer les joueurs du LOSC pour les Jeux Olympiques de Paris, peut compter sur le soutien d’Amélie Oudéa-Castéra. La ministre des Sports a répondu aux critiques.
Amélie Oudéa-Castéra compréhensible avec le LOSC
C’est une polémique qui ne semble pas près de désenfler jusqu’au 2 juillet, date du passage de la flamme olympique par Lille, où Olivier Létang portera ce symbole des Jeux Olympiques. Pourtant, le président du LOSC avait décidé de bloquer la participation de ses joueurs aux JO, faisant passer les intérêts de son club – engagé dans les tours préliminaires à la Ligue des champions début août – avant tout. De quoi susciter les critiques de Lionel Charbonnier et Jérome Rothen sur RMC. « Je demande au comité d’organisation des Jeux olympiques (Cojo), aux politiques ou à la ministre des Sports – qui se mêle de tout et de défendre la France aux JO – qu’elle n’autorise pas Monsieur Létang à porter la flamme olympique. Ce n’est pas possible », avait notamment rouspété le dernier.
Attendue, donc, sur ce cas épineux, Amélie Oudéa-Castéra a pris la parole ce vendredi à Brest avant le départ de la flamme pour Pointe-à-Pitre, en Guadeloupe. « C’est une question difficile, a embrayé “AOC” dans des propos relayés par RMC Sport. Je comprends qu’elle suscite du débat et qu’elle fasse parler. Il ne faut pas être sur le registre du chantage avec la flamme olympique. Un parcours a été calé. Il faut de la part du foot français, une forme d’unité dans l’engagement. Le cas de Lille est probablement le plus complexe et le plus difficile parce qu’ils sont engagés au tour préliminaire de la Ligue des champions début août. L’exigence pour eux sur les trois joueurs susceptibles d’être engagés est particulièrement sensible et forte. » Avant de conclure, dans un vent contraire : « Je connais leurs contraintes (aux clubs français dans leur globalité, ndlr) mais les Jeux à Paris, c’est une fois par siècle ».
Crédits photo : Raphael Lafargue / ABACAPRESS.COM / Icon Sport
6 fautes d’orthographe dans une phrase de 12 mots !
Il n’y a pas que les journalistes qui devaient fermer ‘leur gamelle’
ils faudrais que les journalistes fermes leur gamelles sa ferais des vacances