Si Bruno Genesio a aligné une équipe assez attendue contre Rennes, une surprise s’est tout de même glissée dans son onze de départ avec la présence de Mitchel Bakker en tant qu’ailier gauche. Un choix expliqué par l’entraîneur du LOSC à l’issue de la rencontre.
Sahraoui et Fernandez-Pardo amoindris
Très performant à Nice, avec notamment son premier but sous le maillot du LOSC à la clé, Matias Fernandez-Pardo apparaissait comme un candidat naturel à une titularisation contre Rennes, ce dimanche à l’occasion du match célébrant les 80 ans du club. Il n’en a finalement rien été. « Il avait ressenti une gêne au mollet et ne s’était entraîné que le dernier jour avec le groupe. C’était un moyen de le préserver pour ne pas le mettre en danger« , précise Bruno Genesio.
Et sachant qu’Osame Sahraoui « a aussi été touché ces derniers temps« , l’entraîneur du LOSC n’avait plus vraiment d’autre choix que de miser sur Mitchel Bakker. Sans pour autant que cela soit un choix par défaut. « Je voulais des joueurs à 100% physiquement sur ce match. C’est la raison qui m’a poussé à doubler le côté avec Mitch et Gabi. Cela avait plutôt bien marché à chaque fois, que ce soit en début de match et en cours de partie, rappelle Genesio. C’est une option supplémentaire. J’ai encore Isma (Ismaily) qui vient de revenir. J’essaie de mettre la meilleure équipe du moment, en tenant compte de tous les éléments. »
E.P. avec R.P.
Crédits photo : Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport