Si Lyon connaît son pire début de saison depuis bien longtemps, Nabil Bentaleb estime qu’il serait imprudent de ne pas prendre au sérieux la formation rhodanienne, que le LOSC affronte dimanche (20h45) en conclusion de la 13e journée de Ligue 1. Morceaux choisis de sa conférence de presse.

Une bonne forme sur le plan personnel

« Je me sens bien. On a une bonne équipe de réathlétisation, avec laquelle on a bien travaillé. Physiquement, je suis très bien. C’était aussi un plaisir de retourner en sélection, après les blessures et le manque de temps de jeu. C’est toujours quelque chose de spécial de représenter le maillot de l’Algérie, plus particulièrement sur cette phase de qualification à la coupe du monde. »

Lyon, pour s’affirmer un peu plus ?

« Le plus important est de prendre match après match, comme on l’a fait depuis le début de la saison. On sait que ça va être compliqué, nos objectifs seront compliqués. Tout le monde va voir se battre, on est là pour ça. Chaque match est compliqué et il ne faut se projeter plus loin que le prochain match. Lyon sera un match très difficile. Ils ont eu une période assez compliquée, mais ça reste une grosse équipe de ce championnat. Pour l’instant, ils sont dans le bas du classement, mais c’est une bête blessée qui peut se réveiller à tout moment. Il va falloir donner 100% de nos capacités, rester concentré, être prêt au combat. Ce ne sera pas un match facile. »

Son ascension avec Benjamin André et celle à venir avec Angel Gomes

« Cela change, oui et non. Cela reste deux joueurs de grande qualité. On a assez travaillé ensemble pour avoir des automatismes. J’ai plus enchaîné aux côtés de Benjamin André dans un double-pivot. Avec Angel (Gomes), on a aussi pas mal travaillé. On va manquer de Benjamin, notre capitaine, un joueur important, je pense qu’on a un effectif assez bien fourni pour pouvoir bien gérer ce genre de match. J’ai aussi joué avec Angel, qui était un peu plus haut sur le terrain. On se connaît, les automatismes viennent à l’entraînement et en match. Je pense qu’on peut très bien se compléter, comme on le fait avec Benjamin. »