A l’occasion d’un entretien en profondeur accordé à la chaîne Youtube de la Ligue 1, Will Still est revenu sur le mercato mouvementé du RC Lens. Avant même le départ inattendu de Przemyslaw Frankowski, le coach artésien a reconnu que certaines choses ne s’étaient pas passées comme prévu.
Un mercato riche en « mauvaises » surprises
« Tu acceptes ce qui se passe et tu contrôles ce qui est contrôlable, l’équipe et le terrain. Avant le mercato, on s’était dit qu’on n’allait pas vendre Kevin (Danso) et Kodir (Abdukodir Khusanov). Et à force d’offres et en raison de la situation financière, le club n’a pas trop le choix. Le club ne pouvait pas se permettre de ne pas le faire. Ok, on remplace mais comment ? Avec des jeunes, des potentiels prêts à jouer si besoin, mais qui n’ont pas forcément le même calibre, le même niveau que ceux qu’ils remplacent.
On s’adapte constamment, aux blessures, aux suspensions, aux départs, les sautes d’humeur. On a tout eu cette année.
On me dit que c’est comme ça, c’est comme ça, même si ce n’était pas forcément ce qui était attendu ou promis. Ce n’est pas que je m’en fous, c’est que je ne peux pas le contrôler. J’essaie d’être le plus honnête possible en disant que les choses ont changé. On s’adapte constamment aux blessures, aux suspensions, aux départs, aux sautes d’humeur. On a tout eu cette année. Ne contrôlant pas le mercato, je me suis concentré sur le contenu plutôt que de me disputer avec le DG ou le directeur sportif. Je n’ai pas le choix. On a un groupe, avec de bons joueurs, un vrai potentiel, même s’il est différent de ce qu’on attendait. »
Retrouvez l’intégralité de l’interview accordée par Will Still
Crédits photo : Johnny Fidelin/Icon Sport
il faut recruter chez les joueurs au chômage tu peux ! enfin des joueurs revanchard je pense une bonne solution mr brillon Pascal
le foot c est de l import export ce n’ est plus du sport mais une activité économique