Arrivé pendant l’automne au VAFC, Flamarion n’en connaît pas moins le prestige de la Coupe de France. Avant le match face à Rodez, le milieu offensif brésilien expliquait ce que revêtait cette compétition à ses yeux. Une jolie occasion pour lui et ses coéquipiers.
La Coupe de France, dernier stimulant ?
« Cette compétition, oui, je la connais. » Arrivé il y a seulement quelques mois en France, Flamarion s’est rapidement plié aux joutes de la Ligue 2, mais aussi de la Coupe de France. « Je me rends compte de l’importance de ce match parce qu’en battant Rouen, ça nous permettrait également de gagner de la confiance, d’engranger de la confiance pour la fin du championnat, lance le Brésilien, bien que le VAFC se soit encore plus enfoncé face à Rodez (0-2). Mais ça peut être également historique pour nous dans une saison où justement, en championnat, c’est compliqué. Ça permet de mettre du baume au cœur dans nos résultats. »
« La Coupe de France permet aussi à des clubs qui ne sont pas en Ligue 1 d’avoir l’opportunité de se montrer et se frotter aux meilleurs, poursuit le milieu offensif de 27 ans. C’est pour ça qu’on ne veut pas manquer ce rendez-vous. » Rendez-vous est pris face à Rouen, actuel huitième de National, face auquel le VAFC est favori si l’on s’en tient à l’écart de division, beaucoup moins si l’on se fie aux dynamiques. Un adversaire coriace dont il faudra se défaire pour éventuellement affronter une écurie de l’élite en demi-finale, une première depuis décembre 2021 et une défaite contre Strasbourg (0-1).
Propos recueillis par Lucas PIRART-GUTIERREZ
Crédits photo : Dave Winter/FEP/Icon Sport