Retro février 2020 : L’Amiens SC passe tout proche de l’exploit

Alors que 2020 fut particulièrement difficile pour l’Amiens SC, avec notamment une relégation contestée suite à la crise de la Covid-19, le 11 Amiénois vous propose de revivre l’année à travers notre rétrospective mensuelle. On poursuit avec le mois de février qui a marqué le début de la fin pour l’Amiens SC, avec notamment un match qui restera longtemps dans la mémoire des supporters.

L’Amiens SC tient tête au PSG

Le mois de février est marqué par la prestation déshonorante des Amiénois face à Toulouse au stade de la Licorne (0-0). Au terme d’un match terne, sans envie ni solution, on comprend alors que la fin de saison sera compliquée. S’en suit un résultat encourageant sur le pelouse de Lyon (0-0) où les Amiénois n’ont pas démérité. Le coup de massue intervient trois jours plus tard face à Monaco. Après l’ouverture du score de Guirassy, les Amiénois n’ont fait que reculer pour se faire punir en fin de match. En six minutes, l’AS Monaco crucifie les Picards (1-2) et les plonge un peu plus dans la crise.

[J24] : Amiens SC au fond du trou

Enchaînement un deuxième match de suite à domicile, les Amiénois reçoivent l’ogre parisien le 15 février 2020. N’ayant rien à perdre, l’Amiens SC, emmené par un Gael Kakuta des grands soirs, réalise une entame exceptionnelle et mène 3-1 à la mi-temps. Dans une Licorne en liesse, on se dit que l’exploit est possible et qu’un succès face au PSG pourrait faire énormément de bien pour la suite de la saison. C’était sans compter sur les Parisiens qui parviennent à renverser le score et à mener 4-3 avant que Serhou Guirassy n’égalise dans le temps additionnel. Score final 4-4. Les Amiénois viennent de réaliser un match plein, dans un stade comble mais ne sont récompensés que par un point. Cruel.

[J25] Amiens SC – PSG : le résumé vidéo

S’en suivent un match nul obtenu miraculeusement sur la pelouse de Strasbourg (0-0) et une défaite à domicile face au FC Metz (0-1). Cette dernière condamne pratiquement les Amiénois à un sans faute d’ici la fin de saison tant l’écart se creuse avec la 18e place, synonyme de barrage.

Valentin ROSE

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