Patrice Descamps (Amiens SC) : « Les cerveaux sont envahis par la peur »

Amiens SC Descamps

Alors que l’Amiens SC est totalement passé à côté de son match contre Caen (1-3), Patrice Descamps ne pouvait que tirer un constat d’échec après ce match comptant pour la 36ème journée de Ligue 2.

L’Amiens SC face à ses limites mentales

« La victoire de Caen est méritée. On peut résumer le match à cette pensée. On mérite de perdre face à une équipe solide, avec beaucoup de qualités techniques, qui nous a mis en difficulté. Nous, on a senti une équipe fébrile. Il faut lutter contre nos peurs. On fait une bonne entame, on a la chance d’ouvrir le score. Après, les têtes sont envahies, le niveau de l’équipe n’est pas ce nombre incalculable de ballons perdus en première mi-temps. Les cerveaux sont envahis par la peur. Les joueurs ne lâchent pas mais ça ne suffit pas. Il faut aller plus loin et croire en nous. On ne peut pas dire que ces joueurs ont lâché, ont fait preuve de suffisance, de non respect du club. Par contre, ils ont été inférieurs à Caen. Il faut retrouver de la confiance. »

Propos recueillis par Romain PECHON

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6 Commentaires

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  1. En tout cas le tiens n’est pas rempli de système footballistique, avec Joannin et Williams vous faites un sacré trio.

  2. Les nouveaux venus, joueurs, entraîneur le disent,
    même les locaux le savent depuis longtemps : il y a problème dans ce club
    qui fait que l’on devient facilement moins bon, voire médiocre en y entrant.
    Il faudrait penser à chercher d’où vient ce problème.
    Pour le reste, Il faut accepter la loi du sport et accepter, se préparer à l’éventuelle descente…
    Amiens en national ça aurait quand même de la gueule pour le national et peut-être une chance
    de repartir sur de nouvelles bases, jouer les premiers rôles pendant quelques années dans un championnat au niveau du club …

    • Vous ne comprenez pas que le problème c’est Joannin ? Vous vous rappelez quand même son bilan depuis 2009, non? Un club très moyen de National, rien de plus, et ça va recommencer. La L1, c’était Pélissier et uniquement lui, recruté par hasard puisque Joannin change une ou deux fois d’entraîneur chaque année.

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