Tout au long de la saison, le 11 Lillois vous propose d’élire le joueur du mois du LOSC. Sur un nuage depuis leur victoire contre le Real Madrid, les Dogues ont brillé collectivement et individuellement. Certains prétendent au deuxième trophée de la saison.
L’élection du joueur du mois
Pour août, la présélection de trois joueurs pour le trophée de joueur du mois du LOSC se porte sur Lucas Chevalier, Bafodé Diakité et Jonathan David. Pour désigner le vainqueur, les votes sont ouverts jusqu’à vendredi, 23 heures.
Les nommés :
Lucas Chevalier : il avait commencé son mois par une soirée étoilée face au Real Madrid, repoussant chaque assaut du champion d’Europe en titre. Il l’a conclu en étant à nouveau déterminant face au RC Lens, chambrant même tout Bollaert. Entre-temps, le probable futur international français est resté fidèle à lui-même et à ses performances décisives depuis le début de saison, étant à chaque fois un artisan majeur des résultats obtenus contre Toulouse (2-1), l’Atlético de Madrid (3-1) ou encore Monaco (0-0).
Bafodé Diakité : moins à son avantage depuis sa prolongation de contrat début septembre, le défenseur français a relevé le titre en ce mois d’octobre. En difficulté face à Toulouse, il a retrouvé toute sa solidité et son autorité face à Monaco, poursuivant sur sa lancée pour refaire du LOSC une forteresse quasi imprenable à Madrid et à Lens. Parfois à trois, parfois à quatre, l’un des vice-capitaines de Bruno Genesio s’est parfaitement adapté aux choix de son coach.
Jonathan David : buteur face au Real Madrid et à Lens, auteur d’un doublé contre l’Atlético de Madrid, il était difficile de ne pas inclure Jonathan David parmi les prétendants à cette distinction. Et si trois de ses quatre buts l’ont été sur penalty, ils ont à chaque fois illustré son sang-froid à toute épreuve. Avec le penalty de la victoire contre le Real, celui qui redonnait l’avantage face à l’Atlético dans un Civitas Metropolitano qui l’a hué et, enfin, celui du succès dans le derby à la dernière minute (90+8′) dans un Bollaert on ne peut plus défiant, “Iceman” était sans doute le seul Lillois à pouvoir tous les transformer sans trembler.
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