Tout au long de la saison, Le11 vous propose d’élire le joueur du mois du LOSC. En août, les Dogues n’ont cessé de monter en puissance jusqu’à ce message fort envoyé à Lorient (1-7). De quoi, aussi, mettre en valeur des individualités déjà bien en vue.
L’élection du joueur du mois
Pour août, la présélection de trois joueurs pour le trophée de joueur du mois du LOSC se porte sur Hakon Haraldsson, Félix Correia et Olivier Giroud. Pour désigner le vainqueur, les votes sont ouverts jusqu’à mardi, 19 heures.
Les nommés :
Hakon Haraldsson : l’été ne l’a pas changé. Désormais seul véritable numéro 10 dans l’effectif du LOSC après les départs de Rémy Cabella et Angel Gomes, l’Islandais est toujours le même : le dépositaire du jeu lillois armé d’un volume de jeu impressionnant et d’une implication irréprochable dans toutes les phases de jeu. Si son déchet technique a été pénalisant contre Monaco, il a été plus en vue à Brest et à Lorient, en marquant à chaque fois. Souvent parmi les meilleurs Lillois en première période, il lui manque peut-être encore un peu de coffre pour conserver le même rendement sur 90 minutes.
Félix Correia : une adaptation express. Présenté comme un ailier de percussion à son arrivée, le Portugais brille pourtant par la passe. Meilleur passeur de Ligue 1 avec trois offrandes pour Olivier Giroud (Brest), Romain Perraud et Matias Fernandez-Pardo (Lorient), l’ancien de la Juventus et de Manchester City a déjà gagné ses jalons de titulaire au LOSC. Déjà pleinement adapté à l’intensité de la Ligue 1 – contrairement à Marius Broholm, par exemple -, son profil complet (percussion, création, capacité à jouer dans les deux couloirs) offre une option de choix à Bruno Genesio.
Olivier Giroud : attraction de ce début de saison du LOSC, le meilleur buteur de l’histoire des Bleus fait déjà taire les sceptiques et met tout le monde d’accord. Buteur après onze minutes de jeu à Brest (3-3), le numéro 9 des Dogues a remis ça face à Monaco pour offrir le choc aux siens dans les derniers instants (1-0, 90+1′), faisant même oublier son penalty raté dans la foulée. À bientôt 39 ans (le 30 septembre), l’ancien du Milan ne fait pas son âge. Connecté au jeu, solide dans les duels, capable de participer aux phases de pressing et encore très souple sur les appuis : la palette a de quoi faire saliver, encore plus avec un Hamza Igamane débarqué pour le faire souffler.
Crédits photo : Icon Sport
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