Malgré les éléments et les nombreux retours au score du Nîmes Olympique, hier soir, le VAFC s’est fait violence pour l’emporter (3-2) et cela démontre une véritable force de caractère pour le milieu de terrain Julien Masson.
Vous venez de vivre une belle soirée pour conclure une belle semaine…
C’est une belle victoire au caractère, oui. On a fait une bonne semaine durant laquelle on a engrangé des points, c’est bien pour la suite.
On sent qu’une âme se crée dans cette équipe…
Ca montre une belle force de caractère de l’équipe, en plus à domicile où on était fragile l’année dernière. C’est bien de l’avoir fait ce soir, on est tous très content.
Voir ce public comme ça, qu’est-ce que ça vous fait ?
Ca fait du bien ! Déjà par rapport à la saison dernière qui était compliquée à domicile. C’est bien de rallumer cette flamme avec le public. On est très content pour nous, ce soir, mais aussi pour eux.
Vous semblez trouver la clé offensivement…
On travaille beaucoup les cheminements offensifs à l’entraînement et sur ce match, ça paye parce qu’on en met trois. Il faut continuer comme ça. On est généreux offensivement dans nos courses parce qu’on veut faire mal à l’adversaire. C’est ce que l’on a fait de bien face à Nîmes.
Mais défensivement, cela devient plus dur…
On prend deux buts, oui, mais on arrive à en mettre trois donc on va retenir ce positif mais aussi la force de caractère de l’équipe. On a mis trois buts à domicile, retenons ça !
On imagine que le vestiaire ne s’enflamme pas malgré cette belle série…
Du tout ! Il faut rester lucide. C’est vrai que c’est une belle victoire, que l’on a fait une bonne semaine avec ces trois matches et il faut continuer comme ça. C’est à nous d’emmener le truc, d’emmener le public avec nous et on pourra espérer de bonnes choses.
Tirez-vous un premier bilan ?
Pas encore. On verra où on en est à la trêve internationale qui arrive et on verra par la suite. Il faut rester lucide, il reste encore deux matches avant la trêve Continuons et prenons le plus de points possible.
Propos recueillis par Arthur LASSERON