Vainqueur de l’OM avec le LOSC (1-0) ce vendredi soir, Aïssa Mandi avait aussi assisté au tirage au sort de la phase de groupes de la Coupe du monde 2026, qui s’est déroulé en amont de la rencontre. Le défenseur algérien livre son sentiment, alors que les Fennecs auront droit à un groupe de haut niveau.
Aïssa Mandi a « hâte » mais reste concentré sur la saison
Aïssa Mandi a vécu un vendredi soir chargé. Car avant d’éteindre Pierre-Emerick Aubameyang et de décorcher un succès de prestige face à l’OM avec le LOSC, l’Algérien était aussi attentif au tirage au sort de la Coupe du monde. Avec un groupe pour le moins relevé, en compagnie de l’Argentine, championne du monde en titre, de l’Autriche, sélection référencée en Europe, et de la Jordanie, adversaire le plus abordable sur le papier.
« C’est lourd, mais quel groupe n’a pas un gros niveau dans cette Coupe du monde ?, sourit le défenseur lillois, de passage en zone mixte après la victoire contre l’OM ce vendredi soir. On prend ce qu’il y a à prendre. C’est loin, la Coupe du monde. Il y a une saison à jouer et aussi une CAN avant. On n’y pense pas trop. Certes, il y a eu le tirage, on voit nos adversaires. Mais ça parait tellement loin qu’on ne va pas se projeter. »
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Reste que l’excitation grimpe peu à peu à l’approche de la grand-messe du football mondial, dont les Fennecs ont été privés depuis leur huitième de finale en 2014. « Ça fait dix ans qu’on n’a pas été en Coupe du monde, on a hâte d’y être, se réjouit Mandi. Mais tranquille, on a d’abord la CAN, il faudra être performant. Et on verra dans quel état on arrive à la Coupe du monde. »
Enzo PAILOT, à Villeneuve-d’Ascq
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