Auteur d’un passage assez neutre en Picardie, Andy Carroll a démarré sur les chapeaux de roues son aventure bordelaise, en National 2, en inscrivant un doublé contre Châteaubriant (2-2), samedi. Heureux comme un gamin, l’attaquant de 35 ans espère ramener les Girondins le plus haut possible.
Andy Carroll déjà adopté à Bordeaux
Véritable attraction du premier vrai match à domicile des Girondins de Bordeaux, qui retrouvaient le Matmut Atlantique, Andy Carroll a exprimé son bonheur à l’issue de la rencontre contre les Voltigeurs de Châteaubriant, au micro de ForEver La Radio : “Si c’est mon meilleur premier match avec une équipe ? Oui, probablement. Cela aurait été mieux si nous avions gagné et obtenu les trois points, mais nous avons obtenu le match nul. Ce n’est pas une question de buts, c’est une question de performance de toute l’équipe. J’ai trouvé que c’était une excellente deuxième mi-temps.”
Une deuxième mi-temps qui l’a donc vu inscrire un doublé pour ramener son équipe dans la rencontre et par la même occasion valider son choix de quitter la Picardie pour la Gironde. « Je pense que c’est un club fantastique. J’ai eu la chance de représenter de nombreux grands clubs. Newcastle, où j’ai débuté, ou encore de représenter mon pays également, rappelle l’ancien numéro 99 de l’ASC. Aujourd’hui, je suis à Bordeaux et je pense que c’est un grand défi et un club fantastique. Je veux en faire partie et essayer d’écrire l’histoire et de les ramener là où ils doivent être.”
En attendant de sortir Bordeaux du guêpier du National 2, ce qui ne sera pas une mince affaire, Andy Carroll a vécu une première sous le maillot girondin qu’il n’est pas prêt d’oublier. « J’ai trouvé ça incroyable, voir cette marée de gens sauter, danser et chanter, j’ai trouvé ça fantastique. C’est un sentiment formidable pour tout le monde, quel que soit le niveau auquel vous jouez. Marquer un but devant des fans comme ça, c’est un sentiment formidable.” Reste désormais à confirmer que cette première sortie réussie n’était pas qu’une simple lune de miel sans lendemain.
Source : Loic Cousin/Icon Sport
Complètement ridicule, n’importe quoi même