Averti à trois reprises contre l’OL, le LOSC ne s’est pas mis en danger pour la fin de saison, même si beaucoup de ses joueurs sont en sursis. Découvrez le point disciplinaire des Dogues à l’issue de la 32e journée de Ligue 1.
David et Santos présents jusqu’au bout
Dans le malheur des Lillois, un infime point positif à chaud était à sortir : Jonathan David et Tiago Santos seront bien disponibles jusqu’à la fin de la saison, sauf pépins. L’attaquant canadien étaient en sursis et, en cas d’avertissement contre l’OL, auraient été suspendus pour accumulation de cartons jaunes lors du dernier match de la saison contre Nice (J34), le temps que la décision de la commission de discipline de la LFP soit effective.
Leny Yoro est aussi sous la menace, mais parce qu’il a récolté un deuxième avertissement en dix matches face à Lyon (90+4′). Si l’un des trois, avec Jonathan David et Tiago Santos, écopaient d’un nouvel avertissement lors de la prochaine journée, ils seraient alors suspendus automatiquement pour le premier match officiel d’une compétition française de la saison 2024-2025 du LOSC – si tant qu’ils restent au LOSC. Comme Leny Yoro, Angel Gomes (28′) et Hakon Haraldsson (80′) ont été avertis. Mais ils ont simplement grillé leur joker puisqu’ils n’avaient reçu aucun carton jaune sur les dix derniers matches en compétition française.
Le point disciplinaire du LOSC à l’issue de la 32e journée
2 cartons jaunes :
Leny Yoro (J25, J32) en sursis jusqu’à la fin de la saison ; Tiago Santos (J28, J30) en sursis jusqu’à la fin de la saison ; Jonathan David (J29, J31) en sursis jusqu’à la fin de la saison
1 carton jaune :
Gabriel Gudmundsson (J24), Lucas Chevalier (J24), Bafodé Diakité (J25), Angel Gomes (J25), Trévis Dago (J25), Edon Zhegrova (J27), Benjamin André (J27), Alexsandro (J30), Ayyoub Bouaddi (J29), Nabil Bentaleb (J31), Angel Gomes (J32), Hakon Haraldsson (J32)
Crédits photo : Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport
Bonjour
Je le croyais plus ambitieux: amener le LOSC à un plus haut niveau.
S’il part, ça prouve une fois de plus que l’argent prime tout. Bravo à ceux qui avaient l’âme du club en eux, comme par exemple Guy Roux. Les mercenaires ça suffit et qu’il s’en aille.